Chers lecteurs,
Nous autres, humains, somme comme une multitude d’étoiles sur un ciel de terre et d’eau. On brille tous, à forces différentes, et parfois on se déplace, et parfois notre luminosité change. Certaines étoiles brillent très faiblement, mais, seules, elles semblent illuminer l’espace entier. D’autres sont perdues dans un amas de soleils, de novas flamboyantes, et paraissent inexistantes. Elles cherchent parfois à s’adapter. Souvent je brille, mais parfois il m’arrive de m’éteindre et me laisser aller, de dériver pour regarder briller les autres. Et parfois, je passe devant une de ces étoiles seules qui illuminent tout. Parfois, les étoiles sont blessées. Alors elles laissent derrière elles un filet de lumière, de mélancholie et de sang. Toutes les étoiles finissent par changer. Et toutes les étoiles finissent par mourrir. Mais au final, elles font toutes partie de l’univers. L’univers, c’est cette immense horloge composée d’une infitinté de début et de fins, pour l’éternité. C’est un amas de limites qui n’en a pas.
Sinon, pour aujourd’hui, un dessin de la mauvaise fée pour mon projet de belle au bois dormant.
Chers lecteurs, je crois que c’en est fini du dessin. Je dessine sans doute depuis que je suis née (bon, en fait j’ai du commencer à vraiment dessiner en fin de primaire… mais ça fait une trotte quand même). Alors voilà, j’arrive au terme.
A part ça, aujourd’hui est un jour merveilleux. Pis les macflury c’est bon…
A ciao, bonsoir.
Un carnet d'Andreita 